D’anciens étudiants en prépa littéraire à Balzac nous parlent de leur expérience. Vous trouverez des éléments actualisés sur le parcours de certains à la page sur les Débouchés!
En mai 2022, nous avons demandé à nos anciens étudiants (des années 2015-2021, essentiellement) quels souvenirs et quels apports ils conservaient de leurs années en prépa littéraire au Lycée Balzac : lisez ici ces extraits du questionnaire: Les apports de la khâgne.
Voir également les témoignages d’anciens étudiants en prépa scientifique.
Lisa Bazille (2021-2023 au lycée Balzac) – Politique internationale
|
J’ai été étudiante en Classe préparatoire au Lycée Honoré de Balzac pendant deux ans (Khâgne/Khûbe). Ce parcours pluridisciplinaire extrêmement enrichissant m’a permis d’acquérir une solide culture générale sur des sujets variés, qu’ils soient contemporains ou historiques. |
Hannah Gavel – Marcouillier (2021-2023 au lycée Balzac) – Histoire-Géographie
J’avais toujours su que je ferai des études de médecine, jusqu’au moment où je suis rentrée en première scientifique… Mes résultats scolaires étaient satisfaisants, mais je savais que je souhaitais m’éloigner des sciences dites « dures ». Mais pour aller vers où ? Sur Parcoursup, après de longues hésitations, j’ai choisi la prépa AL. J’ai effectué mon hypokhâgne au lycée Bergson à Angers. S’agissant d’une prépa orpheline, j’ai dû postuler dans différents lycées lorsque je m’étais enfin décidée à aller en khâgne ! En effet, j’étais tellement perdue au sujet de mon avenir que la khâgne m’effrayait beaucoup. |
Aya El Asri (2023-2024 au lycée Balzac)
|
Rejoindre la prépa de Balzac en khâgne a été une expérience aussi déterminante qu’enrichissante. Contrairement à d’autres établissements où l’on suppose un capital culturel déjà acquis, Balzac prend le temps de consolider les bases essentielles, garantissant ainsi une progression réelle et durable. Ce n’est pas une prépa où l’on se contente d’accumuler des connaissances en vue du concours : on y apprend à penser, à structurer sa réflexion et à affiner son expression avec rigueur et précision. L’enseignement y est d’une clarté remarquable, porté par des professeurs exigeants et passionnés, qui ne se contentent pas de transmettre un savoir, mais accompagnent chaque élève dans ses difficultés et ses questionnements. |
Médina Chebel (2020-2023 au lycée Balzac)
|
|
Emilien Le Moisy (2022-2024) – Lettres classiques
|
Emilien est en L3 de Lettres classiques à la Sorbonne – Février 2025 |
Marine Dalier-Dulys (2021-2023) – Langues et traduction
|
|
Ekram Beldjilali (2020-2023) – Histoire
« Aller en prépa ? Non, jamais de la vie ! » avais-je répondu à mon professeur d’histoire-géo de terminale quand il m’avait suggéré l’idée d’en intégrer une. Rien que d’y penser me terrifiait énormément. Et pourtant, je me retrouve à écrire, cinq ans plus tard, sur mon expérience de « mes années prépa ». Certains clichés sur la prépa existent bel et bien. Oui, c’était dur et fatiguant. Oui, il y avait une surcharge de travail entre les devoirs à rendre, les colles et la préparation des concours blancs. Oui, j’ai eu des difficultés à terminer mes copies. |
Paula Do Nascimento Mello (2020-2022) – Langues et traduction
|
|
Jean-Baptiste Amiot (2020-2023) – Histoire
Ayant passé trois années au lycée Honoré de Balzac en classe préparatoire littéraire, c’est avec plaisir que je vous livre mon témoignage sur mon parcours. Titulaire d’un baccalauréat scientifique, je me suis logiquement dirigé vers une première année de CPGE scientifique,
|
Zoé Lanté (2018 – 2021) – Lettres Modernes
|
|
Guillaume Koukoui (2015-2017) – Sciences Politiques
J’ai intégré la classe prépa du lycée Honoré de Balzac en Septembre 2015, après un bac ES. J’étais intéressé par les matières plutôt littéraires et les relations internationales. Cette classe prépa constituait pour moi un bon compromis, tout en permettant de se perfectionner dans les langues (un sérieux atout sur le marché du travail). J’étais un assez bon élève, mais j’avais quelques appréhensions par rapport au différentiel en termes de charge de travail entre le lycée et la prépa. Bien que cette prédiction se soit confirmée dès les première semaines, le cursus s’est déroulé encore mieux que ce que j’aurais pu imaginer, tant sur le plan scolaire que sur le plan humain. |
Louise Thurin (2016-2018) – Management de la culture
Après avoir passé deux ans en prépa à Balzac (Option Hist/Géo/Géopo) de 2016 à 2018, j’ai intégré l’Ecole du Louvre. Je suis désormais en Master à l’ICART qui est une école professionnalisante de management de la culture et du marché de l’art
|
Djurdja Raskovic (2016-2019) – Lettres Modernes
Je suis entrée en hypokhâgne au lycée Honoré-de-Balzac en 2016, après une réorientation. Ayant abandonné des études d’ingénierie pour me lancer dans ce cursus, j’en craignais les difficultés. Tout s’est pourtant très bien passé ! Nous avions tous au départ des niveaux différents et des parcours assez disparates.
|
Kate Mungroo (2017-2019) – STAPS
Je suis à présent étudiante en Master 1 STAPS Management du Sport au sein de l’Université Paris-Saclay. J’ai effectué deux années au sein du Lycée Honoré de Balzac en tant qu’hypokhâgneuse puis khâgneuse (spécialité lettres modernes). Ces deux années furent pour moi les meilleures de ma scolarité.
|
Estelle Memheld (2016-2019) – Etudes Européennes
Après l’obtention d’un baccalauréat ES en 2016, j’ai intégré la classe préparatoire littéraire de Balzac. Mes motivations étaient alors encore floues; ne sachant pas dans quelles disciplines me spécialiser, la classe préparatoire me semblait adéquate : pluridisciplinarité, continuité avec le lycée et promesse d’enrichissement culturel.
|
Bertrand Morain (2015-2018) – Sciences Politiques
C’est après un baccalauréat littéraire, que j’ai intégré en septembre 2015 l’hypokhâgne du Lycée Honoré de Balzac. Je peux d’abord affirmer que j’ai été durant ces trois années très heureux. La classe préparatoire peut se définir en un mot : l’interdisciplinarité. Ce fut pour moi, à la fois l’occasion d’approfondir des disciplines déjà abordées au lycée et de découvrir d’autres champs de connaissances qui me semblaient alors inaccessibles. |
Marion Bianconi (2014-2017) – Lettres Modernes
Je suis rentrée en hypokhâgne en septembre 2014 et j’ai ensuite passé trois ans au lycée Honoré de Balzac. Ca a bien sûr été beaucoup de travail, mais au delà de l’objectif des concours, j’ai pu apprendre des méthodes de travail qui m’ont été utiles pendant mon Master et pour préparer l’agrégation de lettres modernes. |
Ymène Djoudi (2015-2017) – IEP Lille
J’ai passé en tout 5 ans de ma vie au Lycée Honoré de Balzac, d’abord 3 ans au lycée où j’ai passé un bac littéraire, puis 2 ans en classe préparatoire littéraire. Autant dire que je garde un formidable souvenir de ces années. En CPGE, l’engagement est intense, et si votre but premier est de connaître toujours plus de choses, la classe préparatoire est le lieu adéquat. La curiosité est la caractéristique première du préparationnaire. Les connaissances et la méthode acquises pendant ces années ne s’oublient pas, et surtout elles peuvent transformer votre vision du monde et vous aider par la suite. Je n’ai pas suivi cette formation dans le seul et unique but d’intégrer une grande école par la suite, ce fut l’idée d’y avoir une activité intellectuelle stimulante qui m’avait attirée d’abord.
|
Alice Ménager (2015-2016)
C’est après l’obtention de mon baccalauréat série ES que je me suis dirigée vers la classe préparatoire : premièrement parce que je ne savais pas dans quoi je voulais me spécialiser, deuxièmement car je souhaitais avant tout me dépasser et acquérir une grande capacité de travail.
|
Guillaume Founier (2014-2016) – M2 à Sciences-Po Paris
J’ai choisi de m’orienter vers une classe préparatoire littéraire après l’obtention de mon bac ES. Ne souhaitant pas me spécialiser, j’ai fait ce choix afin d’approfondir quelques disciplines que j’appréciais au lycée comme l’histoire, la géographie ou encore la littérature.
|

