Témoignages d’anciens étudiants

D’anciens étudiants en prépa littéraire à Balzac nous parlent de leur expérience. Vous trouverez des éléments actualisés sur le parcours de certains à la page sur les Débouchés!

En mai 2022, nous avons demandé à nos anciens étudiants (des années 2015-2021, essentiellement) quels souvenirs et quels apports ils conservaient de leurs années en prépa littéraire au Lycée Balzac : lisez ici ces extraits du questionnaire: Les apports de la khâgne.

Voir également les témoignages d’anciens étudiants en prépa scientifique.

Zoé Lanté (2018 – 2021) – Lettres Modernes

Je suis arrivée en CPGE Lettres au Lycée International Honoré de Balzac en septembre 2018 et j’allais y rester pour trois ans (Hypokhâgne, Khâgne et Khûbe), jusqu’en juin 2021. A partir de la Khâgne, j’ai pris la spécialité Lettres Modernes tout en faisant du latin et en gardant l’anglais (littérature) et l’espagnol (civilisation).

 

Guillaume Koukoui (2015-2017) – Sciences Politiques

J’ai intégré la classe prépa du lycée Honoré de Balzac en Septembre 2015, après un bac ES. J’étais intéressé par les matières plutôt littéraires et les relations internationales. Cette classe prépa constituait pour moi un bon compromis, tout en permettant de se perfectionner dans les langues (un sérieux atout sur le marché du travail). 

J’étais un assez bon élève, mais j’avais quelques appréhensions par rapport au différentiel en termes de charge de travail entre le lycée et la prépa. Bien que cette prédiction se soit confirmée dès les première semaines, le cursus s’est déroulé encore mieux que ce que j’aurais pu imaginer, tant sur le plan scolaire que sur le plan humain. 

 

Louise Thurin (2016-2018) – Management de la culture

Après avoir passé deux ans en prépa à Balzac (Option Hist/Géo/Géopo) de 2016 à 2018, j’ai intégré l’Ecole du Louvre. Je suis désormais en Master à l’ICART qui est une école professionnalisante de management de la culture et du marché de l’art

Djurdja Raskovic (2016-2019) – Lettres Modernes

Je suis entrée en hypokhâgne au lycée Honoré-de-Balzac en 2016, après une réorientation. Ayant abandonné des études d’ingénierie pour me lancer dans ce cursus, j’en craignais les difficultés. Tout s’est pourtant très bien passé ! Nous avions tous au départ des niveaux différents et des parcours assez disparates.

Kate Mungroo (2017-2019) – STAPS

Je suis à présent étudiante en Master 1 STAPS Management du Sport au sein de l’Université Paris-Saclay. J’ai effectué deux années au sein du Lycée Honoré de Balzac en tant qu’hypokhâgneuse puis khâgneuse (spécialité lettres modernes). Ces deux années furent pour moi les meilleures de ma scolarité.

Estelle Memheld (2016-2019) – Etudes Européennes

 

Après l’obtention d’un baccalauréat ES en 2016, j’ai intégré la classe préparatoire littéraire de Balzac. Mes motivations étaient alors encore floues; ne sachant pas dans quelles disciplines me spécialiser, la classe préparatoire me semblait adéquate :  pluridisciplinarité, continuité avec le lycée et promesse d’enrichissement culturel.

Bertrand Morain (2015-2018) – Sciences Politiques

C’est après un baccalauréat littéraire, que j’ai intégré en septembre 2015 l’hypokhâgne du Lycée Honoré de Balzac. Je peux d’abord affirmer que j’ai été durant ces trois années très heureux. La classe préparatoire peut se définir en un mot : l’interdisciplinarité. Ce fut pour moi, à la fois l’occasion d’approfondir des disciplines déjà abordées au lycée et de découvrir d’autres champs de connaissances qui me semblaient alors inaccessibles.

Marion Bianconi (2014-2017) – Lettres Modernes

Je suis rentrée en hypokhâgne en septembre 2014 et j’ai ensuite passé trois ans au lycée Honoré de Balzac. Ca a bien sûr été beaucoup de travail, mais au delà de l’objectif des concours, j’ai pu apprendre des méthodes de travail qui m’ont été utiles pendant mon Master et pour préparer l’agrégation de lettres modernes.

Lou Solarz (2017-2018) – Droit à Assas

Quand je me suis inscrite en classe préparatoire littéraire grâce à APB/Parcoursup, je me disais que l’hypokhâgne n’était peut-être pas faite pour moi: j’avais un baccalauréat ES, je n’avais jamais vraiment brillé par mes analyses littéraires, je n’avais pas fait de latin ou de grec depuis plusieurs années mais surtout je ne parlais presque pas allemand ou anglais… C’était plutôt le droit qui m’attirait, et j’ai d’ailleurs choisi d’aller en faculté de droit après l’hypokhâgne.
Je ne regrette pourtant pas du tout d’avoir fait cette année à Balzac, car je pense que grâce à l’hypokhâgne, j’ai eu le temps de m’adapter à la différence de niveau attendu entre le lycée et le supérieur.

Ymène Djoudi (2015-2017) – IEP Lille

J’ai passé en tout 5 ans de ma vie au Lycée Honoré de Balzac, d’abord 3 ans au lycée où j’ai passé un bac littéraire, puis 2 ans en classe préparatoire littéraire. Autant dire que je garde un formidable souvenir de ces années. En CPGE, l’engagement est intense, et si votre but premier est de connaître toujours plus de choses, la classe préparatoire est le lieu adéquat. La curiosité est la caractéristique première du préparationnaire. Les connaissances et la méthode acquises pendant ces années ne s’oublient pas, et surtout elles peuvent transformer votre vision du monde et vous aider par la suite. Je n’ai pas suivi cette formation dans le seul et unique but d’intégrer une grande école par la suite, ce fut l’idée d’y avoir une activité intellectuelle stimulante qui m’avait attirée d’abord.

Alice Ménager (2015-2016)

C’est après l’obtention de mon baccalauréat série ES que je me suis dirigée vers la classe préparatoire : premièrement parce que je ne savais pas dans quoi je voulais me spécialiser, deuxièmement car je souhaitais avant tout me dépasser et acquérir une grande capacité de travail.

Roxane Foroughmand (2014-2016) – M2 de Géopolitique – Paris 1 / ENS Ulm

Après l’obtention de mon baccalauréat scientifique, j’ai décidé de consacrer trois années de ma vie à la classe préparatoire littéraire dans l’optique d’acquérir des compétences en rédaction, réflexion mais aussi une culture générale solide.

Guillaume Founier (2014-2016) – M2 à Sciences-Po Paris

J’ai choisi de m’orienter vers une classe préparatoire littéraire après l’obtention de mon bac ES. Ne souhaitant pas me spécialiser, j’ai fait ce choix afin d’approfondir quelques disciplines que j’appréciais au lycée comme l’histoire, la géographie ou encore la littérature.

Lison Bellanger (2013-2015) – IEP Lyon

Je garde un très bon souvenir de mes années d’étude à la CPGE de Balzac. Les professeurs ont toujours été à notre écoute et attentifs à notre progression. Il n’y a jamais eu d’esprit de compétition entre les élèves et l’ambiance de la classe a toujours été agréable.

Blanche Malaise (2013-2015) – Géographie

C’est après un baccalauréat économique et social que j’ai intégré la classe préparatoire littéraire au lycée Honoré de Balzac. Au sortir de mes années lycée je n’avais pas de projet clairement défini, pourtant je souhaitais apprendre davantage sans réellement me spécialiser, intégrer une certaine rigueur de travail mais aussi, et surtout, j’espérais trouver ma voie. Ce sont autant d’objectifs que j’ai pu réaliser en étant en prépa.

Isabelle N’diaye (2012 à 2015) – Master Aménagement du Territoire

J’ai décidé d’entrer en classe préparatoire littéraire après une première année à l’université. J’ai fait le choix de la prépa pour pouvoir gagner en culture générale mais surtout en savoir-faire méthodologiques. Dans la mesure où j’avais déjà une année de plus que les bacheliers de l’année, j’ai postulé via APB à une prépa à taille humaine en dehors des classiques Louis-Le-Grand, Fénélon, Henri IV, dont les “on dit” laissaient régulièrement paraitre des avis mitigés par les anciens.

Hannah Miranda (2006-2009) – Ecole de Commerce puis Celsa

Après un bac littéraire suivi d’une entrée en hypokhâgne en septembre 2006 au lycée Balzac, j’ai effectué une première khâgne dans un autre lycée parisien, avant de revenir khûber à Balzac en option lettres modernes. A la fin de ces trois années et l’obtention d’une sous-admissibilité à l’ENS LSH, j’ai intégré une école de commerce, via les concours de la BCE : SKEMA Business School, d’abord sur le campus de Nice, pour mes L3 et M1, puis sur celui de Paris pour un M2 en apprentissage.

Aïcha Diarra (2012-2014) – King’s College, Economie politique

Je suis entrée en classe de Khâgne à Honoré de Balzac en septembre 2012 et j’ai « khûbé » l’année suivante. J’ai ensuite postulé pour une école à l’étranger – King’s College London, à la faculté Arts & Humanities, pour faire une année de Master en International Political Economy. J’ai fini mon année en mai 2015, rendu mon mémoire en septembre et je dois obtenir officiellement mon diplôme durant la cérémonie de graduation en janvier 2016.

Valentin Juillard (2011-2014) – Relations Internationales, King’s College

J’ai passé trois années dans la prépa du lycée Balzac. La première année est l’année charnière à Balzac, en particulier grâce à l’option « Géopolitique » proposée par M. René-Eric Dagorn, un nom qui vous suivra pendant longtemps. Comme d’autres anciens élèves l’expliquent dans ces témoignages, cette option a été pour moi une sorte de révélation. Cette option n’existe qu’en première année, mais c’est justement le moteur qui vous pousse à continuer à travailler et à aller en seconde année.

Florence Beghi (2009-2012) – Philosophie

J’ai choisi de passer trois années de prépa à Balzac car la formation était extrêmement sérieuse et enrichissante. J’ai pu acquérir les méthodes qui me manquaient et appris à travailler de façon plus efficace. Cela n’aurait pas été possible sans l’attention bienveillante des professeurs à l’égard de chaque élève. Je garde un excellent souvenir de ce cadre stimulant, à taille humaine, particulièrement de l’option philosophie qui a été déterminante pour la suite de mes études.

 

Barbara Saden (2009-2012) – Relations Internationales et Droit

Après un Baccalauréat scientifique, je me suis orientée vers la classe préparatoire littéraire du lycée Balzac. Mes trois années passées à Balzac ont été déterminantes dans la suite de mon parcours. Les méthodes de travail et les capacités rédactionnelles que j’y ai acquises me sont toujours très utiles. J’ai commencé avec des notes très basses mais j’ai beaucoup progressé en trois ans grâce à l’exigence et la bienveillance des professeurs.

Jean-Baptiste Vuillerod (2009-2011) – Philosophie

Après une année de classe préparatoire commerciale, je me suis réorienté en hypokhâgne au lycée Honoré de Balzac. Je n’avais plus fait de littérature depuis ma première ES et les notes peu flatteuses que j’avais en philosophie alors me faisaient prendre conscience de mon grand retard. Il me fallait donc le temps de la progression. Ce dont j’avais besoin, c’était de ne pas me sentir immédiatement rabaissé par le niveau des autres, c’était de parvenir à l’exigence finale pas à pas, sans sauter d’échelons.

Marie-Antoinette Alamenciak (2009-2012) – Lettres Modernes: agrégation et recherche

Après un baccalauréat littéraire, j’ai choisi de m’orienter vers une classe préparatoire. Balzac était un excellent choix, car j’y ai acquis une culture et une méthode de travail incomparables. J’ai ainsi été deux fois admissible à l’ENS de Lyon en lettres modernes, pour être ensuite admise sur dossier à l’ENS Ulm. En parallèle de mon cursus à l’ENS, j’ai effectué un master spécialisé en littérature médiévale, puis j’ai obtenu l’agrégation de lettres modernes en 2015.

Guillaume Koukoui (2015-2017) – Sciences Politiques

J’ai intégré la classe prépa du lycée Honoré de Balzac en Septembre 2015, après un bac ES. J’étais intéressé par les matières plutôt littéraires et les relations internationales. Cette classe prépa constituait pour moi un bon compromis, tout en permettant de se perfectionner dans les langues (un sérieux atout sur le marché du travail). 

J’étais un assez bon élève, mais j’avais quelques appréhensions par rapport au différentiel en termes de charge de travail entre le lycée et la prépa. Bien que cette prédiction se soit confirmée dès les première semaines, le cursus s’est déroulé encore mieux que ce que j’aurais pu imaginer, tant sur le plan scolaire que sur le plan humain. 

 

Louise Thurin (2016-2018) – Management de la culture

Après avoir passé deux ans en prépa à Balzac (Option Hist/Géo/Géopo) de 2016 à 2018, j’ai intégré l’Ecole du Louvre. Je suis désormais en Master à l’ICART qui est une école professionnalisante de management de la culture et du marché de l’art

Djurdja Raskovic (2016-2019) – Lettres Modernes

Je suis entrée en hypokhâgne au lycée Honoré-de-Balzac en 2016, après une réorientation. Ayant abandonné des études d’ingénierie pour me lancer dans ce cursus, j’en craignais les difficultés. Tout s’est pourtant très bien passé ! Nous avions tous au départ des niveaux différents et des parcours assez disparates.

Kate Mungroo (2017-2019) – STAPS

Je suis à présent étudiante en Master 1 STAPS Management du Sport au sein de l’Université Paris-Saclay. J’ai effectué deux années au sein du Lycée Honoré de Balzac en tant qu’hypokhâgneuse puis khâgneuse (spécialité lettres modernes). Ces deux années furent pour moi les meilleures de ma scolarité.

Estelle Memheld (2016-2019) – Etudes Européennes

 

Après l’obtention d’un baccalauréat ES en 2016, j’ai intégré la classe préparatoire littéraire de Balzac. Mes motivations étaient alors encore floues; ne sachant pas dans quelles disciplines me spécialiser, la classe préparatoire me semblait adéquate :  pluridisciplinarité, continuité avec le lycée et promesse d’enrichissement culturel.

Bertrand Morain (2015-2018) – Sciences Politiques

C’est après un baccalauréat littéraire, que j’ai intégré en septembre 2015 l’hypokhâgne du Lycée Honoré de Balzac. Je peux d’abord affirmer que j’ai été durant ces trois années très heureux. La classe préparatoire peut se définir en un mot : l’interdisciplinarité. Ce fut pour moi, à la fois l’occasion d’approfondir des disciplines déjà abordées au lycée et de découvrir d’autres champs de connaissances qui me semblaient alors inaccessibles.

Marion Bianconi (2014-2017) – Lettres Modernes

Je suis rentrée en hypokhâgne en septembre 2014 et j’ai ensuite passé trois ans au lycée Honoré de Balzac. Ca a bien sûr été beaucoup de travail, mais au delà de l’objectif des concours, j’ai pu apprendre des méthodes de travail qui m’ont été utiles pendant mon Master et pour préparer l’agrégation de lettres modernes.

Lou Solarz (2017-2018) – Droit à Assas

Quand je me suis inscrite en classe préparatoire littéraire grâce à APB/Parcoursup, je me disais que l’hypokhâgne n’était peut-être pas faite pour moi: j’avais un baccalauréat ES, je n’avais jamais vraiment brillé par mes analyses littéraires, je n’avais pas fait de latin ou de grec depuis plusieurs années mais surtout je ne parlais presque pas allemand ou anglais… C’était plutôt le droit qui m’attirait, et j’ai d’ailleurs choisi d’aller en faculté de droit après l’hypokhâgne.
Je ne regrette pourtant pas du tout d’avoir fait cette année à Balzac, car je pense que grâce à l’hypokhâgne, j’ai eu le temps de m’adapter à la différence de niveau attendu entre le lycée et le supérieur.

Ymène Djoudi (2015-2017) – IEP Lille

J’ai passé en tout 5 ans de ma vie au Lycée Honoré de Balzac, d’abord 3 ans au lycée où j’ai passé un bac littéraire, puis 2 ans en classe préparatoire littéraire. Autant dire que je garde un formidable souvenir de ces années. En CPGE, l’engagement est intense, et si votre but premier est de connaître toujours plus de choses, la classe préparatoire est le lieu adéquat. La curiosité est la caractéristique première du préparationnaire. Les connaissances et la méthode acquises pendant ces années ne s’oublient pas, et surtout elles peuvent transformer votre vision du monde et vous aider par la suite. Je n’ai pas suivi cette formation dans le seul et unique but d’intégrer une grande école par la suite, ce fut l’idée d’y avoir une activité intellectuelle stimulante qui m’avait attirée d’abord.

Alice Ménager (2015-2016)

C’est après l’obtention de mon baccalauréat série ES que je me suis dirigée vers la classe préparatoire : premièrement parce que je ne savais pas dans quoi je voulais me spécialiser, deuxièmement car je souhaitais avant tout me dépasser et acquérir une grande capacité de travail.

Roxane Foroughmand (2014-2016) – M2 de Géopolitique – Paris 1 / ENS Ulm

Après l’obtention de mon baccalauréat scientifique, j’ai décidé de consacrer trois années de ma vie à la classe préparatoire littéraire dans l’optique d’acquérir des compétences en rédaction, réflexion mais aussi une culture générale solide.

Guillaume Founier (2014-2016) – M2 à Sciences-Po Paris

J’ai choisi de m’orienter vers une classe préparatoire littéraire après l’obtention de mon bac ES. Ne souhaitant pas me spécialiser, j’ai fait ce choix afin d’approfondir quelques disciplines que j’appréciais au lycée comme l’histoire, la géographie ou encore la littérature.

Lison Bellanger (2013-2015) – IEP Lyon

Je garde un très bon souvenir de mes années d’étude à la CPGE de Balzac. Les professeurs ont toujours été à notre écoute et attentifs à notre progression. Il n’y a jamais eu d’esprit de compétition entre les élèves et l’ambiance de la classe a toujours été agréable.

Blanche Malaise (2013-2015) – Géographie

C’est après un baccalauréat économique et social que j’ai intégré la classe préparatoire littéraire au lycée Honoré de Balzac. Au sortir de mes années lycée je n’avais pas de projet clairement défini, pourtant je souhaitais apprendre davantage sans réellement me spécialiser, intégrer une certaine rigueur de travail mais aussi, et surtout, j’espérais trouver ma voie. Ce sont autant d’objectifs que j’ai pu réaliser en étant en prépa.

Isabelle N’diaye (2012 à 2015) – Master Aménagement du Territoire

J’ai décidé d’entrer en classe préparatoire littéraire après une première année à l’université. J’ai fait le choix de la prépa pour pouvoir gagner en culture générale mais surtout en savoir-faire méthodologiques. Dans la mesure où j’avais déjà une année de plus que les bacheliers de l’année, j’ai postulé via APB à une prépa à taille humaine en dehors des classiques Louis-Le-Grand, Fénélon, Henri IV, dont les “on dit” laissaient régulièrement paraitre des avis mitigés par les anciens.

Hannah Miranda (2006-2009) – Ecole de Commerce puis Celsa

Après un bac littéraire suivi d’une entrée en hypokhâgne en septembre 2006 au lycée Balzac, j’ai effectué une première khâgne dans un autre lycée parisien, avant de revenir khûber à Balzac en option lettres modernes. A la fin de ces trois années et l’obtention d’une sous-admissibilité à l’ENS LSH, j’ai intégré une école de commerce, via les concours de la BCE : SKEMA Business School, d’abord sur le campus de Nice, pour mes L3 et M1, puis sur celui de Paris pour un M2 en apprentissage.

Aïcha Diarra (2012-2014) – King’s College, Economie politique

Je suis entrée en classe de Khâgne à Honoré de Balzac en septembre 2012 et j’ai « khûbé » l’année suivante. J’ai ensuite postulé pour une école à l’étranger – King’s College London, à la faculté Arts & Humanities, pour faire une année de Master en International Political Economy. J’ai fini mon année en mai 2015, rendu mon mémoire en septembre et je dois obtenir officiellement mon diplôme durant la cérémonie de graduation en janvier 2016.

Valentin Juillard (2011-2014) – Relations Internationales, King’s College

J’ai passé trois années dans la prépa du lycée Balzac. La première année est l’année charnière à Balzac, en particulier grâce à l’option « Géopolitique » proposée par M. René-Eric Dagorn, un nom qui vous suivra pendant longtemps. Comme d’autres anciens élèves l’expliquent dans ces témoignages, cette option a été pour moi une sorte de révélation. Cette option n’existe qu’en première année, mais c’est justement le moteur qui vous pousse à continuer à travailler et à aller en seconde année.

Florence Beghi (2009-2012) – Philosophie

J’ai choisi de passer trois années de prépa à Balzac car la formation était extrêmement sérieuse et enrichissante. J’ai pu acquérir les méthodes qui me manquaient et appris à travailler de façon plus efficace. Cela n’aurait pas été possible sans l’attention bienveillante des professeurs à l’égard de chaque élève. Je garde un excellent souvenir de ce cadre stimulant, à taille humaine, particulièrement de l’option philosophie qui a été déterminante pour la suite de mes études.

 

Barbara Saden (2009-2012) – Relations Internationales et Droit

Après un Baccalauréat scientifique, je me suis orientée vers la classe préparatoire littéraire du lycée Balzac. Mes trois années passées à Balzac ont été déterminantes dans la suite de mon parcours. Les méthodes de travail et les capacités rédactionnelles que j’y ai acquises me sont toujours très utiles. J’ai commencé avec des notes très basses mais j’ai beaucoup progressé en trois ans grâce à l’exigence et la bienveillance des professeurs.

Jean-Baptiste Vuillerod (2009-2011) – Philosophie

Après une année de classe préparatoire commerciale, je me suis réorienté en hypokhâgne au lycée Honoré de Balzac. Je n’avais plus fait de littérature depuis ma première ES et les notes peu flatteuses que j’avais en philosophie alors me faisaient prendre conscience de mon grand retard. Il me fallait donc le temps de la progression. Ce dont j’avais besoin, c’était de ne pas me sentir immédiatement rabaissé par le niveau des autres, c’était de parvenir à l’exigence finale pas à pas, sans sauter d’échelons.

Marie-Antoinette Alamenciak (2009-2012) – Lettres Modernes: agrégation et recherche

Après un baccalauréat littéraire, j’ai choisi de m’orienter vers une classe préparatoire. Balzac était un excellent choix, car j’y ai acquis une culture et une méthode de travail incomparables. J’ai ainsi été deux fois admissible à l’ENS de Lyon en lettres modernes, pour être ensuite admise sur dossier à l’ENS Ulm. En parallèle de mon cursus à l’ENS, j’ai effectué un master spécialisé en littérature médiévale, puis j’ai obtenu l’agrégation de lettres modernes en 2015.

Guillaume Koukoui (2015-2017) – Sciences Politiques

J’ai intégré la classe prépa du lycée Honoré de Balzac en Septembre 2015, après un bac ES. J’étais intéressé par les matières plutôt littéraires et les relations internationales. Cette classe prépa constituait pour moi un bon compromis, tout en permettant de se perfectionner dans les langues (un sérieux atout sur le marché du travail). 

J’étais un assez bon élève, mais j’avais quelques appréhensions par rapport au différentiel en termes de charge de travail entre le lycée et la prépa. Bien que cette prédiction se soit confirmée dès les première semaines, le cursus s’est déroulé encore mieux que ce que j’aurais pu imaginer, tant sur le plan scolaire que sur le plan humain. 

 

Louise Thurin (2016-2018) – Management de la culture

Après avoir passé deux ans en prépa à Balzac (Option Hist/Géo/Géopo) de 2016 à 2018, j’ai intégré l’Ecole du Louvre. Je suis désormais en Master à l’ICART qui est une école professionnalisante de management de la culture et du marché de l’art

Djurdja Raskovic (2016-2019) – Lettres Modernes

Je suis entrée en hypokhâgne au lycée Honoré-de-Balzac en 2016, après une réorientation. Ayant abandonné des études d’ingénierie pour me lancer dans ce cursus, j’en craignais les difficultés. Tout s’est pourtant très bien passé ! Nous avions tous au départ des niveaux différents et des parcours assez disparates.

Kate Mungroo (2017-2019) – STAPS

Je suis à présent étudiante en Master 1 STAPS Management du Sport au sein de l’Université Paris-Saclay. J’ai effectué deux années au sein du Lycée Honoré de Balzac en tant qu’hypokhâgneuse puis khâgneuse (spécialité lettres modernes). Ces deux années furent pour moi les meilleures de ma scolarité.

Estelle Memheld (2016-2019) – Etudes Européennes

 

Après l’obtention d’un baccalauréat ES en 2016, j’ai intégré la classe préparatoire littéraire de Balzac. Mes motivations étaient alors encore floues; ne sachant pas dans quelles disciplines me spécialiser, la classe préparatoire me semblait adéquate :  pluridisciplinarité, continuité avec le lycée et promesse d’enrichissement culturel.

Bertrand Morain (2015-2018) – Sciences Politiques

C’est après un baccalauréat littéraire, que j’ai intégré en septembre 2015 l’hypokhâgne du Lycée Honoré de Balzac. Je peux d’abord affirmer que j’ai été durant ces trois années très heureux. La classe préparatoire peut se définir en un mot : l’interdisciplinarité. Ce fut pour moi, à la fois l’occasion d’approfondir des disciplines déjà abordées au lycée et de découvrir d’autres champs de connaissances qui me semblaient alors inaccessibles.

Marion Bianconi (2014-2017) – Lettres Modernes

Je suis rentrée en hypokhâgne en septembre 2014 et j’ai ensuite passé trois ans au lycée Honoré de Balzac. Ca a bien sûr été beaucoup de travail, mais au delà de l’objectif des concours, j’ai pu apprendre des méthodes de travail qui m’ont été utiles pendant mon Master et pour préparer l’agrégation de lettres modernes.

Lou Solarz (2017-2018) – Droit à Assas

Quand je me suis inscrite en classe préparatoire littéraire grâce à APB/Parcoursup, je me disais que l’hypokhâgne n’était peut-être pas faite pour moi: j’avais un baccalauréat ES, je n’avais jamais vraiment brillé par mes analyses littéraires, je n’avais pas fait de latin ou de grec depuis plusieurs années mais surtout je ne parlais presque pas allemand ou anglais… C’était plutôt le droit qui m’attirait, et j’ai d’ailleurs choisi d’aller en faculté de droit après l’hypokhâgne.
Je ne regrette pourtant pas du tout d’avoir fait cette année à Balzac, car je pense que grâce à l’hypokhâgne, j’ai eu le temps de m’adapter à la différence de niveau attendu entre le lycée et le supérieur.

Ymène Djoudi (2015-2017) – IEP Lille

J’ai passé en tout 5 ans de ma vie au Lycée Honoré de Balzac, d’abord 3 ans au lycée où j’ai passé un bac littéraire, puis 2 ans en classe préparatoire littéraire. Autant dire que je garde un formidable souvenir de ces années. En CPGE, l’engagement est intense, et si votre but premier est de connaître toujours plus de choses, la classe préparatoire est le lieu adéquat. La curiosité est la caractéristique première du préparationnaire. Les connaissances et la méthode acquises pendant ces années ne s’oublient pas, et surtout elles peuvent transformer votre vision du monde et vous aider par la suite. Je n’ai pas suivi cette formation dans le seul et unique but d’intégrer une grande école par la suite, ce fut l’idée d’y avoir une activité intellectuelle stimulante qui m’avait attirée d’abord.

Alice Ménager (2015-2016)

C’est après l’obtention de mon baccalauréat série ES que je me suis dirigée vers la classe préparatoire : premièrement parce que je ne savais pas dans quoi je voulais me spécialiser, deuxièmement car je souhaitais avant tout me dépasser et acquérir une grande capacité de travail.

Roxane Foroughmand (2014-2016) – M2 de Géopolitique – Paris 1 / ENS Ulm

Après l’obtention de mon baccalauréat scientifique, j’ai décidé de consacrer trois années de ma vie à la classe préparatoire littéraire dans l’optique d’acquérir des compétences en rédaction, réflexion mais aussi une culture générale solide.

Guillaume Founier (2014-2016) – M2 à Sciences-Po Paris

J’ai choisi de m’orienter vers une classe préparatoire littéraire après l’obtention de mon bac ES. Ne souhaitant pas me spécialiser, j’ai fait ce choix afin d’approfondir quelques disciplines que j’appréciais au lycée comme l’histoire, la géographie ou encore la littérature.

Lison Bellanger (2013-2015) – IEP Lyon

Je garde un très bon souvenir de mes années d’étude à la CPGE de Balzac. Les professeurs ont toujours été à notre écoute et attentifs à notre progression. Il n’y a jamais eu d’esprit de compétition entre les élèves et l’ambiance de la classe a toujours été agréable.

Blanche Malaise (2013-2015) – Géographie

C’est après un baccalauréat économique et social que j’ai intégré la classe préparatoire littéraire au lycée Honoré de Balzac. Au sortir de mes années lycée je n’avais pas de projet clairement défini, pourtant je souhaitais apprendre davantage sans réellement me spécialiser, intégrer une certaine rigueur de travail mais aussi, et surtout, j’espérais trouver ma voie. Ce sont autant d’objectifs que j’ai pu réaliser en étant en prépa.

Isabelle N’diaye (2012 à 2015) – Master Aménagement du Territoire

J’ai décidé d’entrer en classe préparatoire littéraire après une première année à l’université. J’ai fait le choix de la prépa pour pouvoir gagner en culture générale mais surtout en savoir-faire méthodologiques. Dans la mesure où j’avais déjà une année de plus que les bacheliers de l’année, j’ai postulé via APB à une prépa à taille humaine en dehors des classiques Louis-Le-Grand, Fénélon, Henri IV, dont les “on dit” laissaient régulièrement paraitre des avis mitigés par les anciens.

Hannah Miranda (2006-2009) – Ecole de Commerce puis Celsa

Après un bac littéraire suivi d’une entrée en hypokhâgne en septembre 2006 au lycée Balzac, j’ai effectué une première khâgne dans un autre lycée parisien, avant de revenir khûber à Balzac en option lettres modernes. A la fin de ces trois années et l’obtention d’une sous-admissibilité à l’ENS LSH, j’ai intégré une école de commerce, via les concours de la BCE : SKEMA Business School, d’abord sur le campus de Nice, pour mes L3 et M1, puis sur celui de Paris pour un M2 en apprentissage.

Aïcha Diarra (2012-2014) – King’s College, Economie politique

Je suis entrée en classe de Khâgne à Honoré de Balzac en septembre 2012 et j’ai « khûbé » l’année suivante. J’ai ensuite postulé pour une école à l’étranger – King’s College London, à la faculté Arts & Humanities, pour faire une année de Master en International Political Economy. J’ai fini mon année en mai 2015, rendu mon mémoire en septembre et je dois obtenir officiellement mon diplôme durant la cérémonie de graduation en janvier 2016.

Valentin Juillard (2011-2014) – Relations Internationales, King’s College

J’ai passé trois années dans la prépa du lycée Balzac. La première année est l’année charnière à Balzac, en particulier grâce à l’option « Géopolitique » proposée par M. René-Eric Dagorn, un nom qui vous suivra pendant longtemps. Comme d’autres anciens élèves l’expliquent dans ces témoignages, cette option a été pour moi une sorte de révélation. Cette option n’existe qu’en première année, mais c’est justement le moteur qui vous pousse à continuer à travailler et à aller en seconde année.

Florence Beghi (2009-2012) – Philosophie

J’ai choisi de passer trois années de prépa à Balzac car la formation était extrêmement sérieuse et enrichissante. J’ai pu acquérir les méthodes qui me manquaient et appris à travailler de façon plus efficace. Cela n’aurait pas été possible sans l’attention bienveillante des professeurs à l’égard de chaque élève. Je garde un excellent souvenir de ce cadre stimulant, à taille humaine, particulièrement de l’option philosophie qui a été déterminante pour la suite de mes études.

 

Barbara Saden (2009-2012) – Relations Internationales et Droit

Après un Baccalauréat scientifique, je me suis orientée vers la classe préparatoire littéraire du lycée Balzac. Mes trois années passées à Balzac ont été déterminantes dans la suite de mon parcours. Les méthodes de travail et les capacités rédactionnelles que j’y ai acquises me sont toujours très utiles. J’ai commencé avec des notes très basses mais j’ai beaucoup progressé en trois ans grâce à l’exigence et la bienveillance des professeurs.

Jean-Baptiste Vuillerod (2009-2011) – Philosophie

Après une année de classe préparatoire commerciale, je me suis réorienté en hypokhâgne au lycée Honoré de Balzac. Je n’avais plus fait de littérature depuis ma première ES et les notes peu flatteuses que j’avais en philosophie alors me faisaient prendre conscience de mon grand retard. Il me fallait donc le temps de la progression. Ce dont j’avais besoin, c’était de ne pas me sentir immédiatement rabaissé par le niveau des autres, c’était de parvenir à l’exigence finale pas à pas, sans sauter d’échelons.

Marie-Antoinette Alamenciak (2009-2012) – Lettres Modernes: agrégation et recherche

Après un baccalauréat littéraire, j’ai choisi de m’orienter vers une classe préparatoire. Balzac était un excellent choix, car j’y ai acquis une culture et une méthode de travail incomparables. J’ai ainsi été deux fois admissible à l’ENS de Lyon en lettres modernes, pour être ensuite admise sur dossier à l’ENS Ulm. En parallèle de mon cursus à l’ENS, j’ai effectué un master spécialisé en littérature médiévale, puis j’ai obtenu l’agrégation de lettres modernes en 2015.

Guillaume Koukoui (2015-2017) – Sciences Politiques

J’ai intégré la classe prépa du lycée Honoré de Balzac en Septembre 2015, après un bac ES. J’étais intéressé par les matières plutôt littéraires et les relations internationales. Cette classe prépa constituait pour moi un bon compromis, tout en permettant de se perfectionner dans les langues (un sérieux atout sur le marché du travail). 

J’étais un assez bon élève, mais j’avais quelques appréhensions par rapport au différentiel en termes de charge de travail entre le lycée et la prépa. Bien que cette prédiction se soit confirmée dès les première semaines, le cursus s’est déroulé encore mieux que ce que j’aurais pu imaginer, tant sur le plan scolaire que sur le plan humain. 

 

Louise Thurin (2016-2018) – Management de la culture

Après avoir passé deux ans en prépa à Balzac (Option Hist/Géo/Géopo) de 2016 à 2018, j’ai intégré l’Ecole du Louvre. Je suis désormais en Master à l’ICART qui est une école professionnalisante de management de la culture et du marché de l’art

Djurdja Raskovic (2016-2019) – Lettres Modernes

Je suis entrée en hypokhâgne au lycée Honoré-de-Balzac en 2016, après une réorientation. Ayant abandonné des études d’ingénierie pour me lancer dans ce cursus, j’en craignais les difficultés. Tout s’est pourtant très bien passé ! Nous avions tous au départ des niveaux différents et des parcours assez disparates.

Kate Mungroo (2017-2019) – STAPS

Je suis à présent étudiante en Master 1 STAPS Management du Sport au sein de l’Université Paris-Saclay. J’ai effectué deux années au sein du Lycée Honoré de Balzac en tant qu’hypokhâgneuse puis khâgneuse (spécialité lettres modernes). Ces deux années furent pour moi les meilleures de ma scolarité.

Estelle Memheld (2016-2019) – Etudes Européennes

 

Après l’obtention d’un baccalauréat ES en 2016, j’ai intégré la classe préparatoire littéraire de Balzac. Mes motivations étaient alors encore floues; ne sachant pas dans quelles disciplines me spécialiser, la classe préparatoire me semblait adéquate :  pluridisciplinarité, continuité avec le lycée et promesse d’enrichissement culturel.

Bertrand Morain (2015-2018) – Sciences Politiques

C’est après un baccalauréat littéraire, que j’ai intégré en septembre 2015 l’hypokhâgne du Lycée Honoré de Balzac. Je peux d’abord affirmer que j’ai été durant ces trois années très heureux. La classe préparatoire peut se définir en un mot : l’interdisciplinarité. Ce fut pour moi, à la fois l’occasion d’approfondir des disciplines déjà abordées au lycée et de découvrir d’autres champs de connaissances qui me semblaient alors inaccessibles.

Marion Bianconi (2014-2017) – Lettres Modernes

Je suis rentrée en hypokhâgne en septembre 2014 et j’ai ensuite passé trois ans au lycée Honoré de Balzac. Ca a bien sûr été beaucoup de travail, mais au delà de l’objectif des concours, j’ai pu apprendre des méthodes de travail qui m’ont été utiles pendant mon Master et pour préparer l’agrégation de lettres modernes.

Lou Solarz (2017-2018) – Droit à Assas

Quand je me suis inscrite en classe préparatoire littéraire grâce à APB/Parcoursup, je me disais que l’hypokhâgne n’était peut-être pas faite pour moi: j’avais un baccalauréat ES, je n’avais jamais vraiment brillé par mes analyses littéraires, je n’avais pas fait de latin ou de grec depuis plusieurs années mais surtout je ne parlais presque pas allemand ou anglais… C’était plutôt le droit qui m’attirait, et j’ai d’ailleurs choisi d’aller en faculté de droit après l’hypokhâgne.
Je ne regrette pourtant pas du tout d’avoir fait cette année à Balzac, car je pense que grâce à l’hypokhâgne, j’ai eu le temps de m’adapter à la différence de niveau attendu entre le lycée et le supérieur.

Ymène Djoudi (2015-2017) – IEP Lille

J’ai passé en tout 5 ans de ma vie au Lycée Honoré de Balzac, d’abord 3 ans au lycée où j’ai passé un bac littéraire, puis 2 ans en classe préparatoire littéraire. Autant dire que je garde un formidable souvenir de ces années. En CPGE, l’engagement est intense, et si votre but premier est de connaître toujours plus de choses, la classe préparatoire est le lieu adéquat. La curiosité est la caractéristique première du préparationnaire. Les connaissances et la méthode acquises pendant ces années ne s’oublient pas, et surtout elles peuvent transformer votre vision du monde et vous aider par la suite. Je n’ai pas suivi cette formation dans le seul et unique but d’intégrer une grande école par la suite, ce fut l’idée d’y avoir une activité intellectuelle stimulante qui m’avait attirée d’abord.

Alice Ménager (2015-2016)

C’est après l’obtention de mon baccalauréat série ES que je me suis dirigée vers la classe préparatoire : premièrement parce que je ne savais pas dans quoi je voulais me spécialiser, deuxièmement car je souhaitais avant tout me dépasser et acquérir une grande capacité de travail.

Roxane Foroughmand (2014-2016) – M2 de Géopolitique – Paris 1 / ENS Ulm

Après l’obtention de mon baccalauréat scientifique, j’ai décidé de consacrer trois années de ma vie à la classe préparatoire littéraire dans l’optique d’acquérir des compétences en rédaction, réflexion mais aussi une culture générale solide.

Guillaume Founier (2014-2016) – M2 à Sciences-Po Paris

J’ai choisi de m’orienter vers une classe préparatoire littéraire après l’obtention de mon bac ES. Ne souhaitant pas me spécialiser, j’ai fait ce choix afin d’approfondir quelques disciplines que j’appréciais au lycée comme l’histoire, la géographie ou encore la littérature.

Lison Bellanger (2013-2015) – IEP Lyon

Je garde un très bon souvenir de mes années d’étude à la CPGE de Balzac. Les professeurs ont toujours été à notre écoute et attentifs à notre progression. Il n’y a jamais eu d’esprit de compétition entre les élèves et l’ambiance de la classe a toujours été agréable.

Blanche Malaise (2013-2015) – Géographie

C’est après un baccalauréat économique et social que j’ai intégré la classe préparatoire littéraire au lycée Honoré de Balzac. Au sortir de mes années lycée je n’avais pas de projet clairement défini, pourtant je souhaitais apprendre davantage sans réellement me spécialiser, intégrer une certaine rigueur de travail mais aussi, et surtout, j’espérais trouver ma voie. Ce sont autant d’objectifs que j’ai pu réaliser en étant en prépa.

Isabelle N’diaye (2012 à 2015) – Master Aménagement du Territoire

J’ai décidé d’entrer en classe préparatoire littéraire après une première année à l’université. J’ai fait le choix de la prépa pour pouvoir gagner en culture générale mais surtout en savoir-faire méthodologiques. Dans la mesure où j’avais déjà une année de plus que les bacheliers de l’année, j’ai postulé via APB à une prépa à taille humaine en dehors des classiques Louis-Le-Grand, Fénélon, Henri IV, dont les “on dit” laissaient régulièrement paraitre des avis mitigés par les anciens.

Hannah Miranda (2006-2009) – Ecole de Commerce puis Celsa

Après un bac littéraire suivi d’une entrée en hypokhâgne en septembre 2006 au lycée Balzac, j’ai effectué une première khâgne dans un autre lycée parisien, avant de revenir khûber à Balzac en option lettres modernes. A la fin de ces trois années et l’obtention d’une sous-admissibilité à l’ENS LSH, j’ai intégré une école de commerce, via les concours de la BCE : SKEMA Business School, d’abord sur le campus de Nice, pour mes L3 et M1, puis sur celui de Paris pour un M2 en apprentissage.

Aïcha Diarra (2012-2014) – King’s College, Economie politique

Je suis entrée en classe de Khâgne à Honoré de Balzac en septembre 2012 et j’ai « khûbé » l’année suivante. J’ai ensuite postulé pour une école à l’étranger – King’s College London, à la faculté Arts & Humanities, pour faire une année de Master en International Political Economy. J’ai fini mon année en mai 2015, rendu mon mémoire en septembre et je dois obtenir officiellement mon diplôme durant la cérémonie de graduation en janvier 2016.

Valentin Juillard (2011-2014) – Relations Internationales, King’s College

J’ai passé trois années dans la prépa du lycée Balzac. La première année est l’année charnière à Balzac, en particulier grâce à l’option « Géopolitique » proposée par M. René-Eric Dagorn, un nom qui vous suivra pendant longtemps. Comme d’autres anciens élèves l’expliquent dans ces témoignages, cette option a été pour moi une sorte de révélation. Cette option n’existe qu’en première année, mais c’est justement le moteur qui vous pousse à continuer à travailler et à aller en seconde année.

Florence Beghi (2009-2012) – Philosophie

J’ai choisi de passer trois années de prépa à Balzac car la formation était extrêmement sérieuse et enrichissante. J’ai pu acquérir les méthodes qui me manquaient et appris à travailler de façon plus efficace. Cela n’aurait pas été possible sans l’attention bienveillante des professeurs à l’égard de chaque élève. Je garde un excellent souvenir de ce cadre stimulant, à taille humaine, particulièrement de l’option philosophie qui a été déterminante pour la suite de mes études.

 

Barbara Saden (2009-2012) – Relations Internationales et Droit

Après un Baccalauréat scientifique, je me suis orientée vers la classe préparatoire littéraire du lycée Balzac. Mes trois années passées à Balzac ont été déterminantes dans la suite de mon parcours. Les méthodes de travail et les capacités rédactionnelles que j’y ai acquises me sont toujours très utiles. J’ai commencé avec des notes très basses mais j’ai beaucoup progressé en trois ans grâce à l’exigence et la bienveillance des professeurs.

Jean-Baptiste Vuillerod (2009-2011) – Philosophie

Après une année de classe préparatoire commerciale, je me suis réorienté en hypokhâgne au lycée Honoré de Balzac. Je n’avais plus fait de littérature depuis ma première ES et les notes peu flatteuses que j’avais en philosophie alors me faisaient prendre conscience de mon grand retard. Il me fallait donc le temps de la progression. Ce dont j’avais besoin, c’était de ne pas me sentir immédiatement rabaissé par le niveau des autres, c’était de parvenir à l’exigence finale pas à pas, sans sauter d’échelons.

Marie-Antoinette Alamenciak (2009-2012) – Lettres Modernes: agrégation et recherche

Après un baccalauréat littéraire, j’ai choisi de m’orienter vers une classe préparatoire. Balzac était un excellent choix, car j’y ai acquis une culture et une méthode de travail incomparables. J’ai ainsi été deux fois admissible à l’ENS de Lyon en lettres modernes, pour être ensuite admise sur dossier à l’ENS Ulm. En parallèle de mon cursus à l’ENS, j’ai effectué un master spécialisé en littérature médiévale, puis j’ai obtenu l’agrégation de lettres modernes en 2015.